dimanche 20 décembre 2015
Devant l'écran
Deux êtres devant leur écran,
Echangent des mots portés par le courant
Electrique d'un ordinateur,
Qui a le dont de cacher leur peur.
Des mots d'abord écrits furtivement,
Par crainte ou manque de temps,
Puis quand le courant passe,
Se multiplient alors lettres et espaces.
Leurs doigts courent sur le clavier,
Transcrivent leurs pensées,
Et permettent d'exprimer,
Ce qu'ils n'oseraient pas en réalité.
Le virtuel a cet avantage,
Celui de cacher son visage,
Fuir sa timidité,
Et se laisser aller.
samedi 12 décembre 2015
Le bleu de ses yeux
Comme chaque soir,
Elle croise son regard,
Et décide en cet instant,
De s'y attarder longuement.
Elle plonge alors dans le bleu,
Si intense de ses yeux,
Et aime voir naître l'étincelle,
Qu'elle y décèle,
Puis qu'elle voir grandir,
En une flamme de désir.
Elle est alors comme hypnotisée,
Et ne peut s'en détacher.
Des multitudes de fois,
Elle a rêvé de cet émoi,
Que provoquerait la profondeur,
D'une telle couleur.
Soudain, elle les devine satisfaits,
Et savoure sur elle leur effet.
Ils se fixent de leur regard bleu,
Et ne cèdent aucun d'entre eux.
Elle se sent défaillir,
Et ses joues rosir,
A ces pensées osées,
Que seules ces pupilles ont déclenché.
Puis cède alors au jeu,
En fermant un instant les yeux,
Avant de les rouvrir et découvre,
Ses yeux remplis d'une foudre
Déterminée. Ils se sont rapprochés,
Et elle se sent enivrée,
Lorsque son regard s'attarde sur cette bouche,
Qui lentement s'approche et la goûte.
samedi 28 novembre 2015
Addiction
Elle a besoin de ses
bras,
De la chaleur de son
corps,
Savoir qu'il est là,
Et qu'il la désire
encore.
Sentir sur sa peau,
Ses sensuels
baisers,
Est un renouveau
Qu'elle n'osait
espérer.
Elle fond lorsque
ses lèvres,
Dévalent son cou,
Et la guide dans ce
rêve,
Magique et fou.
Son être vibre,
A chaque caresse,
Et devient ivre,
De tant de
tendresse.
Elle veut encore et
encore,
S'abandonner dans
ses bras,
Lui donner tout cet
amour,
Tant qu'elle vivra.
mardi 17 novembre 2015
Ses désirs
Il
aime sa peau velouté,
Contre
la sienne plaquée,
Il
aime poser ses mains,
Les
glisser au creux de ses reins,
Parcourir
son dos, ses épaules,
Sensuellement
à tour de rôle,
Sous
elles il aime la sentir frissonner,
Apprécier,
vibrer, s'abandonner,
A
toutes ses caresses,
Et
que jamais cela ne cesse,
Il
aime sa bouche dans son cou,
Et
déposer des baisers doux,
Voir
ses lèvres s'entrouvrir,
Lorsque
la gagne le désir,
Caresser
sa toison si douce,
Du
bout de son pouce,
Et
gagné son intimité,
S'imprégner
de son humidité.
Il
la veut haletante,
Entière,
elle son amante,
Et
lui offrir son sexe gonflé,
Afin
qu'elle se sente submergée,
Par
un intense plaisir,
Et
recommencer à loisir.
lundi 16 novembre 2015
Receuillement
Nous ne pouvons lutter contre la bêtise humaine,
Tout ce qu'elle engendre y compris la haine.
Mais nous pouvons nous soutenir,
Par un mot, un geste, une présence, un sourire.
Même sans bougie ni fleur,
Soyons juste présent avec notre coeur.
La vie doit et va continuer,
Mais à jamais nous ne pourrons oublier.
Restons maintenant, aujourd'hui,
Mais surtout à jamais unis.
mercredi 23 septembre 2015
En apesanteur
Elle
appuie sur le bouton de l'étage désiré, les portes se ferment et
l'ascenseur commence sa montée pour la mener à son bureau où
beaucoup de travail l'attend. C'est le rituel quotidien, répété
plusieurs fois, auquel elle aimerait échapper, tant les minutes
passées dans cet espace confiné sont une perte de temps.
Et
pourtant, en y réfléchissant, ce lieu pourrait être propice pour
rencontrer de nouvelles personnes, faire connaissance avec les
employés de ce building immense qui fourmille. Au lieu de cela, les
gens défilent, se limitant à un bonjour ou pas, parfois occupé sur
leur smartphone ou perdus dans leurs pensées si bien qu'ils ne la
remarque même pas. Cependant, elle est loin de se douter de ce qui
l'attend.
Perdue
dans ses pensées, elle fixe le sol en soupirant. Le bruit des portes
s'ouvrant se fait entendre et une paire de chaussures entre dans son
champs de vision : noires, très classes, impéccablement cirées.
Elle se surprend à sourire en se disant que ce petit jeu pourrait
être amusant et au moins la divertir durant ses "voyages".
- Elles vous plaisent ?
Cette
voix lui plait bien plus encore que ces chaussures : sensuelle à
souhait.
Elle
daigne enfin relever la tête pour regarder son interlocuteur et là,
ses lèvres se figent et elle devient muette. Devant elle se tient
l'homme le plus sexy de la planète : brun, cheveux très courts,
barbe de quelques jours impeccablement entretenue, des yeux bleus à
s'y noyer, un sourire à lui couper le souffle et un corps sculpté
dans un costume gris sur mesure. En bref : un Dieu sortit de nulle
part.
-
Vous travaillez dans quel service ? Demande-t-il en tendant le bras
pour choisir son étage.
Ce
simple geste libère alors les essences de son parfum boisé et elle
ferme les yeux une fraction de seconde avant de répondre :
- Comptabilité.
Il
se place alors à sa gauche un peu en retrait, le laissant libre de
faire glisser ses yeux sur sa cambrure, ses fesses et ses jambes
élancées en affirmant :
- Nous
ne nous sommes jamais croisés.
Avant
qu'elle ne puisse répondre, une armée d'employés s'engouffre dans
l'ascenseur si bien qu'elle doit se reculer pour faire place. Un pas,
puis deux, et la voilà corps à corps avec Monsieur Sexy qui déclare
en murmurant :
- Si
c'était le cas je m'en souviendrais.
Elle
aimerait à ce moment voir son regard. Reprenant ses esprits, elle
s'apprête à demander à son tour quel poste il occupe mais un
contact inatendu la trouble : Toujours collé contre elle, il
caresse son poignet droit du pouce. Ce petit geste suffit alors à
provoquer en elle une vague de chaleur. Elle s'obstine à garder son
sang froid lorsque sa main gauche se pose sur sa taille pour la
plaquer d'avantage contre lui. Elle arrive cependant à articuler :
- Et
vous, vous travaillez à quel étage ? - Moi, je vois les gens arriver, partir, se succéder, se croiser, comme dans un ascenseur.
Sa
bouche est si près qu'à chaque mot, elle peut sentir ses lèvres
sur son cou.
Sa
main glisse alors sur son ventre et elle scrute rapidement les
visages présents, espérant qu'aucun d'eux ne remarque le sien
rougissant. Son compagnon de voyage s'en aperçoit.
- Personne
ne remarque rien. Regardez-les, ils sont tous trop occupés, ils
nous ont à peine vus. On se croise, on s'oublie, telle est la loi
de l'apesanteur. Mais le voyage aussi court soit-il, peut
être...innoubliable.
L'ascenseur
stoppe, laissant s'échapper la petite armée, les laissant seuls.
Les portes à peine refermées, elle sent une main glisser sur son
chemisier et un doigt s'insinuer dans son décolleté. Sa raison lui
dit de le stopper mais son corps exige le contraire. Mr Sexy
entreprend alors de s'attaquer aux boutons et elle sent sa
respiration s'accélérer lorsqu'il écarte les pans de son vêtement
en même temps que l'ascenseur s'arrête à nouveau.
La
gêne d'abord la gagne. D'instinct, elle croise rapidement sa veste
et se retourne face à lui, le dos aux nouveaux arrivants. Lui la
regarde un sourire amusé et provocateur et elle ne peut que répondre
à son sourire en se mordillant la lèvre. La gêne fait place à
l'excitation et elle attend avec impatience le moment où ils se
retrouveront seuls à nouveau. Lorsque l'occasion se présente, elle
a soudain envie de jouer, s'approche de lui et détache sa cravate en
le fixant dans les yeux, la saisit et tire d'un coup sec dessus pour
l'attirer contre elle. Elle pose alors sa bouche dans son cou, sort
la chemise de son pantalon et d'un geste rapide le déboutonne.
- Oh
! Dit-il, feintant un air outré. On pourrait nous surprendre.
Elle
se laisse alors guidée par ses envies et glisse ses deux mains sur
son torse musclé lorsque...nouvel arrêt.
Il
se retourne rapidement, et attrape son téléphone simulant une
conversation. Elle sourit imaginant les regards des nouveaux venus
sur eux et se mordille le doigt et lorsque l'espace se vide à
nouveau il se retourne face à elle et elle découvre un regard
déterminé, presque animal.
Elle
en frissonne de la tête aux pieds. L'ascenseur stoppe alors
brutalement, les lumières s'éteignent ne laissant qu'une veilleuse
de sécurité. Cette panne est un cadeau inespéré. Il s'approche
d'elle, lui ôte sa veste en murmurant :
- Continuons
le voyage.
A
son tour il ôte sa veste, s'empare de sa bouche qu'elle lui offre,
lui entrouvre les lèvres pour y glisser sa langue et chercher la
sienne. Durant ce baiser fougueux, elle glisse ses mains sur ses
épaules et fait tomber sa chemise en le frôlant.
Elle
le rend fou et il compte bien lui faire savoir. Il glisse sa bouche
dans son cou jusqu'à la naissance de ses seins pendant qu'il
dégrafe son soutien-gorge afin de pouvoir faufiler ses mains.
Lorsqu'il commence à mordiller un téton, elle laisse s'échapper un
soupir de plaisir. Puis, les doigts de son amant remplacent sa bouche
pour le pincer délicatement et le faire se dresser. Elle sent un feu
dévorant lui envahir le bas ventre. Il remonte alors jusqu'au lobe
de son oreille qu'il aspire, lèche en murmurant :
- Tu
es si....excitante.
Elle
écarte alors son pantalon déjà ouvert pour avoir accès à son
boxer et libérer son sexe qu'elle prend en main. Puis, tout en le
fixant dans les yeux, elle joue du pouce sur son extrémité. Elle
veut voir chaque expression sur son visage.
Lentement,
elle fait coulisser son sexe entre ses doigts lorsqu'elle sent des
les siens se glisser sur sa fesse, écarter son string pour
rencontrer son bouton. Des caresses, des pincements le font se
gonfler peu à peu de désir.
Elle,
accélère ses mouvements pendant qu'un doigt s'insinue lentement en
elle, goutant l'humidité grandissante preuve de son désir et au fur
et à mesure les caresses des deux partenaires se font plus intenses,
plus profondes. Elle sent son sexe se durcir entre ses doigts et lui
la sent s'ouvrir, prête à l'accueillir. Puis tout va très vite, les
coeurs s'accélèrent, les souffles se font plus rapides, le désir
monte crescendo et à bout elle le supplie :
- Prends-moi.
Elle
s'agrippe à ses épaules et il la soulève pour lui enrouler les
jambes autour de sa taille puis en la fixant dans les yeux, il fait
glisser son sexe en elle avec une lenteur affolante, stoppe un
instant avec un petit sourire et lui donne un coup de rein pour venir
au plus profond d'elle.
Elle
laisse alors s'échapper un soupir de surprise et de plaisir et elle
le reçoit en basculant son bassin. Il serre et pétrit ses fesses un
peu plus fort et la guide, la fait glisser sur son sexe tendu gorgé
de désir, d'abord lentement puis en accélérant. La chaleur
l'envahit, le plaisir la submerge et elle plante ses ongles dans son
dos. Leurs souffles haletants se mêlent, leur rythme cardiaque
s'accélère et ils ne font plus qu'un. Les vas-et-vient
s'enchaînent et leur mouvements se coordonnent accentuant d'avantage
leur fougue et leur plaisir. Elle lui murmure "encore" et
lorsqu'elle le sent se répandre en elle, le monde extérieur
n'existe plus et elle doit se mordre la lèvre pour s'empêcher de
crier.
Doucement
le calme revient, leurs respirations se régulent. Le moment fut si
intense qu'elle sent ses jambes se dérober lorsqu'elles touchent le
sol. Il la soutient alors par la taille.
- J'aimerais
encore voyager avec toi, dit-il en lui relevant le menton. - Moi aussi mais ici les gens se croisent et ne se revoient peut-être jamais...
Il
dépose un baiser sur ses lèvres puis chacun se rhabille. Les
lumières se rallument, l'ascenseur redémarre et elle ne veut pas
le quitter. Il s'approche d'elle et lui passe sa cravate autour du
cou.
- Nous
nous sommes croisés, trouvés et tu peux me rejoindre à ta guise,
au dernier étage, tout en haut de la pyramide.
Les
portes s'ouvrent, il s'éloigne après un rapide clin d'oeil et elle,
sent son parfum imprégné sur sa cravate le coeur battant : elle
vient de baiser le boss dans un ascenseur.....
mercredi 26 août 2015
Rêve erotique
Elle rêve du lui,
Celui qui sait l'envouter,
Par sa poésie,
Et elle se laisse aller.
Elle imagine son parfum,
La douceur de sa peau,
Et glisse sa main,
En imaginant ses mots.
Des mots doux,
Tendrement murmurés,
Pour un instant fou,
Qui lui font perdre pied.
Celui qui sait l'envouter,
Par sa poésie,
Et elle se laisse aller.
Elle imagine son parfum,
La douceur de sa peau,
Et glisse sa main,
En imaginant ses mots.
Des mots doux,
Tendrement murmurés,
Pour un instant fou,
Qui lui font perdre pied.
Puis des suggestions,
Pour doucement l'inviter,
A se perdre en sensations,
Et se laisser chavirer.
Sa main alors,
Se fait plus entreprenante,
S'empare de son trésor,
Et elle s'imagine son amante.
Envoûtée, peu à peu s'envole la timidité,
Elle se délecte de sa voix de miel,
Et bien vite s'invite la sensualité,
Grâce à lui qui la rend si belle.
Ses mots remplis de passion,
Deviennent ses mains,
Et son souffle un cocon,
Remplaçant son corps contre le sien.
Elle plonge alors corps et âme,
Dans cet entre deux mondes,
Et en elle se ravive la flamme,
Et l'envie si profonde,
De basculer avec lui,
Laisser s'envahir de désir,
Qu'il devine au travers de ses non-dits,
Et laisser décupler le plaisir.
Songe
Ce rêve n'appartenant qu'à moi,
Je me blottis dans ses bras,
Ecoutant ses mots rassurants, tendres,
Et par sa douceur me laisse surprendre,
Savourant les minutes, les heures,
Ecoutant les battements de son coeur,
En serrant sa main dans la mienne,
Et espérant un jour devenir sienne.
Je rêve de sentir, m'imprégner de son parfum,
Encore et encore jusqu'au petit matin,
Et immortaliser le souvenir de cette étreinte magique,
Et me la remémorer dans mes instants mélancoliques,
Afin de m'envelopper de ce bonheur,
Provoqué par tant de douceur.
Errance
Dans la nuit, le vent la frôle,
Et caresse ses épaules.
Sans but elle erre,
Puis se perd.
L'enveloppe alors la tristesse,
De son manteau qui la blesse,
Et la glace,
De cette douleur tenace,
Qûi se mêle au silence,
De sa pesante absence,
Provoquée par cet abandon,
De plus en plus long.
Ses sentiments cependant,
Grandissent avec le temps,
Et chaque jour qui passe,
Est un immense espace,
Un néant dans lequel elle plonge,
Nourri de ses songes,
Rêves qui apaisent son esprit torturé,
Et confortent son désir de le retrouver.
Chaud et froid
Il
est là,
Et
comme à chaque fois,
Il
la rend brûlante,
Et
elle se sent envoûtante.
Il
connaît son pouvoir sur elle,
Et
aime provoquer cette étincelle.
La
température monte en degrés,
Il
ne compte pas la faire retomber.
Il
s'empare d'un glaçon,
De
son verre de bourbon,
Et
habillement le glisse,
Sur
sa peau délicate, lisse.
Au
contact de sa peau,
Elle
frissonne sans un mot,
Et
laisse l'eau perler,
Jusqu'au
sillon de son décolleté,
Il
le suit de son doigt,
Tandis
que le gagne l'émoi,
Et
le désir,
En
pensant à leur futur plaisir.
samedi 11 juillet 2015
La vie
Le site de cette association subit encore quelques modifications mais
sera ouvert dans les jours à venir. Alors n'hésitez pas à prendre son
lien et à réessayer ultérieurement.
J'aime ma planète et la vie,
Et je sais que toi aussi,
Alors clique ici www.associationleg.com
Rendons la vie plus belle,
Faisons de chaque jour qui se lève,
Un rêve éternel.
Pour vivre heureux,
Vivons autonome et mieux,
En participant aux projets ambitieux,
Donnons nous la main,
Et offrons à chacun,
Ce dont il a besoin.
Une simple participation de ta part,
Ton aide, ton savoir,
Fait grandir l'espoir,
D'accéder à un monde de paix,
En développant ce que chacun transmet,
Pour demain et à jamais.
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mercredi 24 juin 2015
A toi qui n'est pas
Il n'est pas et ne sera jamais,
Celui que je pensais qu'il était.
Tout s'écroule et je tombe,
Ainsi que cette relation profonde,
Et je dois me faire à l'idée,
De le laisser s'échapper.
Cet être, cet ami, ce confident,
N'est plus en cet instant,
Qu'un souvenir ancré,
Mais si fort dans mes pensées.
Pourtant tout paraissait si réel,
Mais à présent tout est si cruel.
Comment me faire à l'idée,
De devoir tout effacer?
Je me dis que chaque être,
N'est pas ce qu'il fait paraître,
Et je laisse le temps au temps,
D'atténuer ma foule de sentiments.
En cette soirée tiede,
J'aimerais que l'on m'aide,
Même si personne ne peut rien,
Contre tout ce chagrin.
J'ai l'espoir de découvrir une personnalité,
A qui peut-être je pourrais m'accrocher.
Mais personne ne remplacera jamais,
Celui que je croyais qu'il était,
Même s'il part en fumée,
Me laissant de joie désarçonnée,
Avec cette tenace douleur,
Qui me brise le coeur.
Toi qui peut-être me liras,
Toi seras celle, celui qui comprendras,
Que tout n'est que brouillard,
Mêlé à mon désespoir,
Mais peut-être un nouveau chemin,
Pour aller plus loin.
Il me manques déjà,
Et me manqueras,
Quoique tu dises,
Quoique tu fasses,
Et malgré son départ,
En moi il sera toujours quelque part.
Je laisse pour l'instant,
Faire les jours, le temps,
Mais à chaque seconde s'écoulant,
Toi qui n'es pas, tu me manques énormément.
Celui que je pensais qu'il était.
Tout s'écroule et je tombe,
Ainsi que cette relation profonde,
Et je dois me faire à l'idée,
De le laisser s'échapper.
Cet être, cet ami, ce confident,
N'est plus en cet instant,
Qu'un souvenir ancré,
Mais si fort dans mes pensées.
Pourtant tout paraissait si réel,
Mais à présent tout est si cruel.
Comment me faire à l'idée,
De devoir tout effacer?
Je me dis que chaque être,
N'est pas ce qu'il fait paraître,
Et je laisse le temps au temps,
D'atténuer ma foule de sentiments.
En cette soirée tiede,
J'aimerais que l'on m'aide,
Même si personne ne peut rien,
Contre tout ce chagrin.
J'ai l'espoir de découvrir une personnalité,
A qui peut-être je pourrais m'accrocher.
Mais personne ne remplacera jamais,
Celui que je croyais qu'il était,
Même s'il part en fumée,
Me laissant de joie désarçonnée,
Avec cette tenace douleur,
Qui me brise le coeur.
Toi qui peut-être me liras,
Toi seras celle, celui qui comprendras,
Que tout n'est que brouillard,
Mêlé à mon désespoir,
Mais peut-être un nouveau chemin,
Pour aller plus loin.
Il me manques déjà,
Et me manqueras,
Quoique tu dises,
Quoique tu fasses,
Et malgré son départ,
En moi il sera toujours quelque part.
Je laisse pour l'instant,
Faire les jours, le temps,
Mais à chaque seconde s'écoulant,
Toi qui n'es pas, tu me manques énormément.
samedi 23 mai 2015
Encore et encore
Encore
et encore
Elle
pense a lui encore,
Son
amour n'est pas mort,
Elle
veut encore croire,
Et
garde espoir.
A
l'intérieur, elle se laisser aller,
A
penser, à pleurer,
A
l'extérieur, elle affiche un sourire,
Et
se force à rire,
Pour
ne rien laisser paraître,
Et
continue à "être".
Lui,
pense t-il encore à elle?
La
trouve t-il encore si belle?
Espère
t-il encore,
Que
leur amour n'est pas mort?
Errance
Errance
Dans
la nuit le vent la frôle,
Et
caresse ses épaules,
Sans
but elle erre,
Puis
se perd.
L'enveloppe
alors la tristesse,
De
son manteau qui la blesse,
Et
la glace,
Cette
douleur tenace,
Qui
se mêle au silence,
De
sa pesante absence,
Provoquée
par cet abandon,
De
plus en plus long.
Ses
sentiments cependant,
Grandissent
avec le temps,
Et
chaque jour qui passe,
Est
un immense espace,
Un
néant dans lequel elle plonge,
Nourri
de ses songes,
Rêves
qui apaisent son esprit torturé,
Et
confortent son désir de le retrouver.
Dégustation
Dégustation
Prendre
la sucrerie en main,
Et
faire glisser délicatement son écrin.
La
dégustation est d'abord visuelle,
Alors
prendre le temps de la trouver belle.
Apprécier
sa tendre couleur,
Et
sentir sa douceur.
Imaginer
son goût au palais,
Et
le plaisir provoqué à cet effet.
Deviner
son parfum,
A
en provoquer la faim,
Faire
durer la dégustation,
A
en perdre la raison.
Fermer
les yeux,
Et
de la bouche l'approcher un peu.
Et
tendrement lécher, découvrir,
Pour
faire durer le plaisir.
Puis
de ses lèvres l'entourer,
Pour
enfin mieux goûter.
Et
faire coulisser l'objet du délit,
Au
gré de ses envies.
mardi 20 janvier 2015
Toi
J'aimerai tant pouvoir te parler,
Toi qui devine ma peur dissimulée,
Toi qui sait tout entendre,
Et si bien me comprendre.
Tu es l'oreille attentive,
Et parfois tu me boostes, me motives.
Sur ton épaule chaleureuse,
J'aime me reposer, heureuse.
Tu es pour moi le confident,
De chaque instant,
Celui avec qui je partage tout,
Même les instants les plus fous.
Remords et regrets
Regrets et remords,
As t-on eu raison ou tort?
Est ce la raison du plus fort,
Qui décidera du sort?
Quoi que l'on puisse penser,
Les dés sont déjà jetés,
Et reste à espérer,
Que l'on continuera d'avancer.
Arpenter le chemin du destin,
En se prenant par la main,
Et se dire que peut-être demain,
Nos doutes prendront fin.
Ne pas regarder en arrière,
Si cela est une barrière,
Ne pas penser à hier,
Mais à ce que nous allons faire.
Nous avons tous des remords, des regrets,
Personne n'est parfait,
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