Quand tu me tiens insomnie,
S'éloigne alors le sommeil,
Et tu prends possession de ma nuit,
Effaçant l'éventuel réveil.
Commence alors le décompte des heures,
Qui me semblent bien longues,
Et apparaît la vision d'horreur,
Des minutes et des secondes.
En cet instant où je te hais,
Le stylo est mon ami,
Et sur toi je tire un trait,
Avec un brun de poésie.
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